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Aristide Rougon, known as Saccard, is a failed property speculator determined to make his way once more in Paris. Unscrupulous, seductive, and with unbounded ambition, he schemes and manipulates his way to power. Financial undertakings in the Middle East lead to the establishment of a powerful new bank and speculation on the stock market; Saccard meanwhile conducts his love life as energetically as he does his business, and his empire is seemingly unstoppable.

Abandoned by her lover and left to bring up their two children alone, Gervaise Macquart has to fight to earn an honest living. When she accepts the marriage proposal of Monsieur Coupeau, it seems as though she is on the path to a decent, respectable life at last. But with her husband's drinking and the unexpected appearance of a figure from her past, Gervaise's plans begin to unravel tragically.

"L'Assommoir", septième volume de la série "Les Rougon-Macquart" publié en 1877, est considéré comme le plus grand roman d'Émile Zola. L'ouvrage est totalement consacré au monde ouvrier et, selon Zola, c'est "le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple". L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. "L'Assommoir" raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, honnête blanchisseuse de la Goutte d'Or dans le Paris populaire de 1850.

Sex, betrayal, murder and corruption form the basis of this sensational novel by one of the leading French authors of the 19th century. Jacques Lantier is a man with a hereditary homicidal lust. When he sees Roubaud and his wife Severine slit the throat of a wealthy nobleman, it is the catalyst for a string of murders in a convoluted plot full of horror and suspense.

Le Figaro du 23 janvier 1868 à propos de Thérèse Raquin : "C'est le résidu de toutes les horreurs. Le sujet est simple, le remords physique de deux amants qui tuent le mari mais qui, ce mari tué, n'osent plus s'étreindre, car voici le supplice délicat qui les attend."

Sous le second empire, le bouleversement de Paris voit le quartier marchand se transformer avec l'apparition du projet Baltard...

Dans ce roman, on découvre une société dominée par le plaisir et l'argent, le milieu du théâtre parisien au 19ème siècle et de la prostitution, celui de l'aristocratie et de la grande bourgeoisie.À travers le personnage de Nana, jolie fille du ruisseau, prostituée et comédienne sans talent devenue célèbre courtisane, Zola décrit la déchéance d'une femme, et celle de la bonne société qui lui apporte ses amants, mais aussi la fin du Second Empire, qui se rue avec insouciance vers la guerre et la débâcle.

Thérèse is a half Algerian orphan, brought up in provincial France by her aunt and married off to her sickly cousin Camille. His ambition takes the three of them to Paris, where they set up home in the dank and dingy backstreets that run down to the Seine. The relentless tedium of life for Thérèse is eventually broken by the presence of Camille’s unscrupulous friend Laurent, sparking a series of increasingly desperate acts.

Comme le confesse Émile Zola, critique d'art, ami d'enfance de Paul Cézanne, fervent défenseur de Manet, de Monet et des impressionnistes contre l'art académique,: " 'L'Œuvre' est un roman où mes souvenirs et mon cœur ont débordé". L'ouvrage suit une bande d'amis constituée autour d'un peintre et d'un écrivain. Ils fréquentent d'autres artistes, des sculpteurs, des architectes et des journalistes. L'auteur se met en scène dans le personnage de l'écrivain Pierre Sandoz, l'ami d'enfance de Claude Lantier, peintre génial mais maudit.

À la suite de la mort de son épouse, Jean Macquart, désespéré, personnage principal de "La Terre", reprend du service dans l'armée. Incorporé dans le 106e de ligne, il y est caporal. Ses hommes le respectent. Lors de la guerre franco-prussienne de 1870, il ne peut qu'assister impuissant à l'effondrement de l'Empire et à la déroute de ses armées.

La spéculation, telle qu'elle se pratique de nos jours, naît sous le Second Empire. Aristide Rougon, dit Saccard, le promoteur immobilier de "La Curée", réapparait ici en conquérant de la finance.Le "jeu" capitaliste enflamme les passions des grandes fortunes comme des classes laborieuses. Zola démonte le mécanisme des opérations boursières et scrute les personnages typiques du milieu de l'argent.

Toute acquise à Napoléon III dans le passé, grâce aux intrigues politiques de la famille Rougon, la petite ville de Plassans est maintenant sous le contrôle des légitimistes. Prêtre Bonapartiste, l'abbé Faujas, est envoyé de Besançon pour tenter de faire revenir la ville dans le droit chemin. Il est hébergé dans un premier temps par la famille Mouret. Il y a là François Mouret, quarante-cinq ans (fils d'Ursule Macquart) commerçant en retraite, sa femme Marthe Rougon et ses enfants, Octave, Serge et Désirée.

"Lorsque "L'Assommoir" a paru dans un journal, il a été attaqué avec une brutalité sans exemple, dénoncé, chargé de tous les crimes. Est-il bien nécessaire d'expliquer ici, en quelques lignes mes intentions d'écrivain ? J'ai voulu peindre la déchéance fatale d'une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l'ivrognerie et de la fainéantise, il y a relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l'oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement, la honte et la mort. C'est la morale en action, simplement."

Emile Zola applies his keen eye to the human condition in this masterpiece plagued by passions, guilt, and the ghosts that haunt our psyche. Often perceived as a play of temperaments, Zola tells the story of Therese’s unhappy marriage to Camille and her subsequent affair with one of her husband’s friends, Laurent. With his dark symbolism often reaching claustrophobic depths, we become more acquainted with what drives our most animalistic instincts.

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE. Thérèse a été élevée par sa tante dans le but d'épouser son cousin, un homme au tempérament maladif. Bientôt, elle ne supporte plus cette vie cloîtrée, ni ce sinistre passage du Pont-Neuf où Mme Raquin installe sa mercerie. Toute sa sensualité refoulée s'éveille au contact de Laurent, un peintre raté dont elle devient la maîtresse. Les amants décident de noyer le mari. L'âpreté, la sexualité, le crime. Entre roman noir et tragédie, l'implacable réalisme social et humain de Zola est à l'œuvre.

Octave Mouret (le futur héros du "Bonheur des dames"), débarque à Paris et devient le nouveau locataire d'un immeuble bourgeois de six étages, situé rue de Choiseul. Il découvre rapidement que dans cette demeure en apparence de réputation irréprochable, les intrigues font partie de la vie courante des habitants. Derrière une belle façade se dissimule une cour intérieure d'où émanent des odeurs nauséabondes dues aux détritus des cuisines que les domestiques jettent par les fenêtres. Et par analogie, derrière cette respectable façade, existe un puant cloaque moral.

"Le sujet de Nana est celui-ci : Toute une société se ruant sur le cul. Une meute derrière une chienne, qui n'est pas en chaleur et qui se moque des chiens qui la suivent. Le poème des désirs du mâle, le grand levier qui remue le monde". Émile Zola.

L’Œuvre est un roman d’Émile Zola publié en 1886, le quatorzième volume de la série Les Rougon-Macquart. L’ouvrage décrit le monde de l’art et des artistes dans les années 1860-1870, à travers le portrait d’un artiste peintre, Claude Lantier. Claude Lantier est le fils de Gervaise Macquart et d’Auguste Lantier. Il est ici l’ami d’enfance du romancier Pierre Sandoz, personnage dans lequel Zola a mis beaucoup de lui-même.

In a dingy apartment on the Passage du Pont-Neuf in Paris, Thérèse Raquin is trapped in a loveless marriage to her sickly cousin, Camille. The numbing tedium of her life is suddenly shattered when she embarks on a turbulent affair with her husband's earthy friend, Laurent. But their passion for each other soon compels the lovers to commit a crime that will haunt them forever.

Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l'on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres. Zola publie en 1898 l'article "J'accuse !" dans "L'Aurore", pour dénoncer l'incroyable erreur judiciaire portée à l'encontre d'Alfred Dreyfus.